






C’est la rentrée venez échanger avec les militant.es et les élu.es de la France Insoumise a Fontenay-sous-Bois.
Nous échangerons ensemble sur l’actualité et les axes prioritaires de LFI en cette rentrée 2023.










Carte scolaire, Parcours Sup, SNU, revalorisation de la profession d’enseignant, une fois de plus, le gouvernement se contente d’effets d’annonces, les syndicats et les parents d’élèves dénoncent des mesures insuffisantes et toujours pas à la hauteur des enjeux que sont l’éducation et la jeunesse. Les problèmes de classes surchargées et de fermetures de classes seront toujours les mêmes à la rentrée. Le non-remplacement des enseignants, est un symptôme de la casse des services publics. Il y a un an c’est via des speed dating que l’Éducation nationale recrutait preuve de l’abandon du système éducatif. La macronie ferme les yeux devant les causes du déficit d’enseignants : refus d’augmenter les salaires et de garantir des conditions de travail à la hauteur de leur mission.
Le néolibéralisme qui guide la politique du gouvernement œuvre à vider les services publics de leurs moyens. De l’Hôpital à la Police, de l’Éducation nationale à la Justice, le Président ne recule jamais devant l’austérité et la privatisation de nos services publics.





Se nourrir revient de plus en plus cher. La hausse des prix de l’alimentaire dépasse les 15% en un an. Les conséquences sont dramatiques : 4 Français sur 10 disent avoir supprimé un repas. Les Restos du Cœur ont accueilli 22% de personnes en plus que l’hiver dernier. Au 2nd semestre 2022, cette hausse est due en majorité au profit de l’industrie agro-alimentaire qui se gave !
Face à cela, la cantine apparaît comme un bouclier social. La première au monde est apparue à Lannion en 1884 pour lutter contre la pauvreté. Son modèle a évolué mais elle permet toujours de garantir à chaque enfant d’avoir accès à un repas sain, à moindre prix. À Fontenay, malgré la hausse des coûts, nous avons fait le choix de ne pas augmenter le prix alors que l’AMF prévoit une hausse dans la moitié des communes cette année. Le repas est gratuit pour les deux premiers quotients et aucune famille ne participe à la moitié au moins du coût total d’un repas. Et sans rogner sur la qualité : des producteurs locaux, 60% de bio ! C’est un impératif social mais aussi écologique et éducatif.



